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Choses de la vie

Aéroport
Mr. Rostaing, président de la société d’aviation «les Aiglons » d’Orléansville, qui a pris l’initiative de la création d’un aéroport, est félicité chaleureusement le 23 octobre 1930 par le conseil municipal de la ville.
Accouchement
le jeudi 07 mars 1867, Mme Ferrandès Angèle Antoinette, âgée de 32 ans, femme de Jacques Selva, 30 ans, journalier, accouche à 9 heures du matin à Orléansville, rue de la colonie (aujourd’hui rue Si Mohamed El Fidaï), d’une petite fille dénommée «Angélique » qui décédera le vendredi 15 mars de la même année. Le lendemain vendredi, à une heure et demie du soir (soit 28 heures et ½ après le premier accouchement), elle mis au monde un petit garçon, dénommé «Pierre ».
Agression
Le 28 mai 1937, Mr. Foudad Cherif, infirmier à l’infirmerie indigène d’Orléansville, est licencié pour avoir battu un malade à l’intérieur de l’infirmerie même.
Amende
Nous sommes dans la nuit du 03 au 04 juillet 1917. M. Rufino, entrepreneur du service de nettoiement et d’arrosage de la ville d’Orléansville, entreprend son travail. Il commence le balayage au centre ville. Comme, il n’avait pas prit le soin d’arroser la chaussée, une grande nuée de poussière à vous couper le souffle se dégageait. Le lendemain mercredi 05 juillet, une amende de 5 francs lui est infligée par le maire, pour avoir balayer à sec les rues d’Isly et de Rome (aujourd’hui rue des Martyrs et Ibn Rochd).
Amusement
Le 14 août 1937, deux ouvriers bouchers à Orléansville (les sieurs Léon Badann et Mehaïguène Djelloul), frappés d’interdiction d’accès à l’abattoir communal pendant une durée de huit jours, pour avoir s’emparer du tuyau en caoutchouc servant au nettoyage de l’abattoir est se sont amusés à s’arroser mutuellement et ont détérioré le tuyaux qui a éclaté vers son milieu.
Arroseuse
L’autorité municipale de la ville d’Orléansville décide le 27 juin 1929, de ne plus prêter l’arroseuse automobile aux communes voisines sauf au cas où des vies humaines seraient en danger, de ne plus prêter aux sociétés locales le matériel des fêtes (bancs, drapeaux, guirlandes électriques) et de ne plus mettre à la disposition de ces sociétés le personnel communal.
Assassinat
André Naudin (un des premiers colons installé à Pontéba [Oum El Drou] en 1848). Au petit jour, d’une journée du mois de novembre 1867, il est découvert assassiné dans son champ de culture par le garde champêtre, son corps lacéré de 17 coups de couteaux. Son petit chien, très affecté par le sort malheureux de son maître, lançait des aboiements plaintifs.
Banquet
Mr Carde, gouverneur général de l’Algérie, le succésseur de Pierre Bordès, effectue une visite officielle dans l’arrondissement d’Orléansville. Le mardi 21 juillet 1931, un grand banquet lui est réservé à l’hôtel Baudouin (les frais de cette réception évalués à 5830 francs de l’époque).
Bascule
La facture d’achat d’une bascule à l’abattoir communal d’Orléansville, qui s’élève à un montant de 480.00 F, est réglée 14 décembre 1933.
Blâme
En représailles, à l’insurrection d’El Mokrani, Le Dr. Marcailhon d’Aymérie, médecin à Orléansville, refuse ouvertement de soigner un sujet arabe malade et dépourvu complètement d’argent. Le 25 mars 1871, le conseil municipal décide de lui infliger un blâme au médecin, pour avoir s’abstenu de secourir un être humain en danger.
Boites aux lettres
Au mois de Mars 1886, le directeur des postes et télégraphiques à Alger, répond favorablement, au maire d’Orléansville, pour le placement d’une deuxième boite aux lettres à la maison Robert, angle des rues de la République et de la rue d’Isly, après celle de la gare.
Bon de sortie
26 janvier 1943: Une amende de 340 francs, est infligé au chaouch de la mairie, Bouguellal Abdelkader pour avoir pris sans autorisation sur le bureau du secrétaire général un bon de sortie de légumes, signé par Mr. Ange Bisgambiglia délégué au ravitaillement et l’avoir remis au bénéficiaire.
Braderie
Organisation à El-Asnam du 12 au 15 juin 1975 de la fête annuelle de la ville et d’une braderie du 12 au 22 juin au profit de l’ASO club de football.
Candélabres
Par autorisation spéciale, n° 3392/2 du 08 mars 1935, la commune d’Orléansville décide la fourniture et pose de candélabres nécessaires au nouveau pont de la Ferme (candélabres visibles à nos jours aux bordures du pont mais non fonctionnels). Le montant partiel de cette dépense s’élevait à l’époque à 12.000,00 francs.
Carrefour de solidarité
En signe de solidarité avec la population Chéllifienne, meurtrie dans son âme, à la suite de la grande catastrophe tellurique d’octobre 1980, et en hommage du soutien moral et matériel aussi bien national qu’international apporté à la population sinistrée, l’APW de Chlef organise en juin 1984 durant ce mois de Ramadhan, le premier carrefour de solidarité de la chanson avec la participation de 27 wilayas, à la place de la solidarité.
Casino
Le conseil municipal de la commune d’Orléansville accorde le 09 août 1961, un avis favorable à la demande formulée par M René Hadjes, propriétaire du grand Hôtel du Chéliff, par laquelle il sollicite l’ouverture dans son établissement d’un casino avec salle de jeux.
Chariot
Il est bon de savoir qu’en 1928, Orléansville est encore dépourvue de pompes à essence. Pour avoir son plein, on était obligé de s’adresser à Mr. Jacob Elkaïm, un juif, possesseur d’un chariot mobile distributeur d’essence.
Concours
huit élèves de la région d’ Orléansville, réussissent le lundi 30 mai 1910, l’obtention du certificat d’études primaire spécial aux indigènes. Sont admis : Ouazane Abdelkader ; Bendamardji Rachid ; Benouna Ahmed ; Bessekri Mohamed ; Brahmia Bachir ; Damardji Ahmed ; Kouidri Belkacem (Orléansville) ; Benslimane Lahcène d’Oued-Fodda.
Confondre
Nous sommes le vendredi 12 mai 1939. Mr. Djellouli Henni collecteur du marché encaisse les droits à percevoir pour le compte de son employeur, la commune d’Orléansville. Tout d’un coup surgit le receveur municipal, dans une tournée de routine. Il interpelle le sieur Djellouli et lui vérifie la caisse. Le 15 mai, il établit son rapport au maire qui inflige le lundi 22 mai , une retenue de solde de 25 francs au sieur Djellouli Henni, pour avoir confondu dans sa bourse personnelle son argent et les fonds perçus pour la commune en date du 12 mai.
Courrier
Le 30 sept 1894, le conseil municipal de la commune d’Orléansville, considère que le transport du courrier de la gare à la poste à dos d’hommes n’offre guère toutes les garanties de sécurité d’autant plus que le porteur traverse la pépinière pour se rendre à la poste et peut être exposé à des rencontres dangereuses, propose que le transport soit fait dorénavant au moyen d’une voiture. En 1916, le courrier en provenance d’Alger arrive à destination à la gare d’Orléansville à 13 heures 37 minutes et celui d’Oran à 15 heures 14 minutes.
Cours d’arabe
Désormais, dés le lundi 09 décembre 1878, les cours d’arabe, sont dispensés à l’école d’Orléansville.
Crue
En Janvier 1861, la circulation sur le pont en bois du Chéliff est interdite en raison de la crue de la rivière. Elle ne sera rétablit que le 25 janvier. Le 07 mars 1861, la circulation sur le pont en bois du Chéliff, est interdite aux voitures, charrettes, attelés de plus d’un cheval.
Décision
Le lundi 26 mai 1919, le maire de la commune d’Orléansville fait publier l’arrêté n° 256 qui stipule en son article premier : « A dater de ce jour et jusqu’à ce qu’il soit autrement décidé, le pain rond indigène (petits pains ronds fabriqués par les boulangers indigènes - Matloue - N.D.L) qui est vendu, 0,20 devra peser, dorénavant, 250 grammes. Tout vendeur ne pourra se refuser à le débiter par moitié au prix de 0 f 10 ».
Délivrance
Le 04 janvier 1919,le sous-préfet de l’arrondissement d’Orléansville, refuse la délivrance d’un permis de chasse au sieur Mekerba Abdelkader, compte tenu de son très jeu e âge (18 ans).
Dispute
Nous sommes au mois de mars 1871, une dispute éclate à Orléansville entre des indigènes arabes et des sujets israéliens qui a failli tournée au vinaigre.
Distraction
Une amende de 20 francs, est infligé le 20 août 1936 à Mr. Benmansourah Mohamed, agent de police à Orléansville, pour avoir été surpris les 13 et 14 août, par le commissaire de police dans un café maure, alors qu’il était en congé de maladie. L’arrêté du maire précise en son article deux que l’agent incriminé «étant malade à la chambre, est sorti en ville pour se distraire ».
Ecole
Il est 4 heures de l’après midi de ce mardi 25 avril 1939. Les élèves de l’école d’Orléansville commençaient à quitter les salles de Classes. Le brigadier Abderahmani est absent de son service. Les enfants sont livrés à eux mêmes. Trois jours après (le 28 avril), une retenue de solde de 10 francs lui est infligée, pour manquement et pour ne pas avoir assuré son service à la sortie des classes.
Electricité
Le 08 février 1931 : Perturbations fréquentes dans le réseau de distribution de l’énergie électrique à travers la ville, et les usagers se plaignent de ne plus recevoir du courant le jour (extinction de la lumière électrique dés 6 heures et demi du matin). Le maire explique cet état de fait par les travaux de rétablissement des canalisations électriques qui devront être bientôt terminés.
Empêchement
Mr. Ferdinand Duboc, commissaire civil, faisant fonctions de maire, empêché par une maladie et ne pouvons assurer normalement la marche des services, désigne le 20 octobre 1857, Léon Desjardins, adjoint pour le supplier dans sa tache jusqu’à nouvel ordre. Il reprend la direction de la commune le 23 novembre 1857.
Engin
Un engin de la commune conduit par Benzzina Djilali percute un véhicule de marque Citroën 2 CV appartenant au nommé Arrous Djilali. Compte tenu que Benzzina ayant conduit cet engin sur la voie publique et sans permis de conduire, le CRMA oblige dès 09 mars 1976, la mairie de payer les frais du sinistre.
Enseignement
- 1910 - Le jeune Mostefaoui Mohamed de l’école de Heumis, a été reçu au cours spécial aux indigènes de l’Ecole Normale d’Alger Bouzaréa. Sur 17 élèves venus de pays arabes, il a été le seul candidat admis.
Espadrilles
A compter de ce jour, mercredi 27 mai 1942, a vente des espadrilles est interdite chez les détaillants et artisans de la commune d’Orléansville, pour pouvoir utiliser tout le stock nécessaire aux besoins de l’armée ( 2ème guerre mondiale oblige NDL).
Essence
Le 21 août 1924, ous préfet d’Orléansville, approuve l'arrêté municipal du 15 juillet 1924, réglementant l'installation des distributeurs automatiques d'essence sur la voie publique de la ville.
Falsification
- 1910 - Faux billets de banque de 50 francs circulant dans la région. (Papier plus grossier, teinte gris sale, caractères empâtés, numéros légèrement écrasés, enfin la date de création est du 09 mars 1604).
Faute de sièges
Le jeudi 14 juillet 1939, l’autorité municipale, organise une grandiose fête à Orléansville. Mais elle fut gâchée à moitie. La sauterie (petite réunion dansante) n’a pu être donnée l’après-midi fautes de sièges. L’architecte communal, Mr. Martinole se voit infligé un blâme pour négligence grave et manquement à son service.
Ferme
Création d’un commissariat de police d’arrondissement à la Ferme. La commune d’El-Asnam donne en location le 04 avril 1964 à la DGSN, l’ancien bâtiment de la mairie annexe de la localité.
Ferrailles
Le 09 juillet 1964, la préfecture d’El-Asnam approuve la délibération n° 186 de la délégation spéciale de la commune d’El-Asnam, relative à la mise en ferrailles de deux véhicules communaux : le camion Berliet n° J 637 AG et le Citroën n° J 284 AG.
Fièvre aphteuse
le nommé Fellague Miloud maquignon, est mis en demeure le vendredi 03 octobre 1952, de conduire à la fourrière communale une vache atteinte de fièvre aphteuse qu’il détient dans une cour au 8, rue de la République (auj. rue de la République Algérienne).
Fontaines
En novembre 1861, il existait en ville trois fontaines publiques : l’une installée à la rue Etourneau (auj. Frères Medjadji), la seconde à la rue de Rome ( Ibn Rochd) et la troisième à la place de la Mosaïque (emplacement actuelle de l’hôtel Wanchariss).
Fourrière
Le 08 juillet 1954, es véhicules n° 190 B.W 91 Citroën et 7319 A.L 24 Ford vedette appartenant respectivement à MM. Lakaksa Moussa et Kinèche Kinèche, chauffeurs de taxis, domiciliés à Orléansville mis au garage pour une durée de cinq jours pour refus d’assurer leur tour de permanence.
Fruits et légumes
En considération de la 2ème guerre mondiale qui fait rage, le maire de la commune d'Orléansville fait publier un arrêté municipal le 12 août 1942, faisant interdire la sortie des fruits et légumes du territoire de la commune. Cet arrêté stipulait en son article premier: « Il est interdit d'expédier par chemin de fer par camion des fruits et légumes sans autorisation du service de ravitaillement de la commune. Ces autorisations ne seront délivrées qu'autant que les besoins communaux d'abord, de l'arrondissement ensuite seront satisfaits".
Gré à gré
A la suite de la mise en adjudication du service de nettoiement de la ville d’Orléansville, le conseil municipal autorise en date du 1894 30 septembre, le maire pour traiter de gré à gré pour la vente du matériel de ce service constitué de 02 mulets avec harnais, 01 cheval avec ses harnais, 03 tombereaux en mauvais état et une petite voiture «dite jardinière » en mauvais état également.
Guerre
Se conformant aux instructions du ministère de l’intérieur, prescrivant d’éviter en Algérie comme en France, tout gaspillage de produits alimentaire en temps de guerre, la municipalité d’Orléansville fait interdire à compter du 20 avril 1917, la préparation et la mise en vente des crèmes à la glace dans les cafés, cafés-brasseries, cafés-restaurants, cercles, clubs, pâtisseries, confiseries, chocolateries, hôtels, pensions, restaurants, buffets, wagons-restaurants, auberges, crémeries, cantines buvettes, et tous établissements de consommation ouverts au public, ainsi que sur la voie publique. Au mois de juin et plus exactement à partir du 03 juin, la fabrication et la mise en vente de la pâtisserie sont frappées d’interdiction.
Harvers
La commune d’El-Asnam décide le 14 octobre 1975, l’acquisition d’un chargeur sur pneus de marque «Harvers » auprès de la Sonacome moyennant le prix de 123.983.00 D.A (environ 12 millions 1/2 de centimes).
Hôtel
En 1919, le prix de la course de la gare d’Orléansville en ville, à destination d’un hôtel ou toute autre habitation intra-muros ou vice versa, est fixé à l’époque à un franc. Il atteint quatre francs à compter du 02 février 1925.
Horloge
L’horloge publique de la commune, installée en ville (très ancienne), cesse subitement de fonctionner le samedi 12 octobre 1861. Un crédit de 200 f fut réservé dès le mois novembre 1861, pour sa réparation par le seul horloger qui existait à l’époque à Orléansville.
Horloger
Le sieur Saïah Mohamed horloger à Orléansville est nommé horloger de la ville à partir du 01 janvier 1925. Il est chargé de l’entretien des horloges et pendules de la commune : horloge de l’hôpital ; horloge du marché couvert et pendules de la mairie, de la justice de paix et du commissariat de police ; des horloges et pendules des écoles communales de la Ferme et de Pontéba.
Incident de Slaïmia
Le Vendredi 22 novembre 1946, survient un incident fâcheux à Slaïmia (douar Tiberkanine). Henni Ali, percepteur des impôts à Orléansville à failli être assommé par les Salem Ouahchia si ce n’était l’intervention du garde-champêtre de la fraction et du khodja, pour avoir signaler au sieur Ali une sommation d’impôts de 1946.
Indigène
Nous sommes le dimanche 04 novembre 1923. Madame Marfour gardienne du dispensaire d’Orléansville, est de service. Une indigène inculpée dans une affaire de droits communs, admise pour recevoir dés soins avant d’être reconduite à la geôle, profitant d’un moment d’inattention de la gardienne, s’enfuit. Une retenue de solde de cinq francs, lui fut infligée le 07 novembre 1923 pour avoir laissé échapper une indigène.
Informations agricoles
Novembre 1933 : « les ensemencements sont activement menés ; en général, cependant à Orléansville, les travaux ont été gênés au début du mois par la sécheresse et, à la fin, par des précipitations atmosphériques. Dans la même région, les rongeurs et les insectes ont causés des dégâts aux semis effectués à sec…. » . Arboriculture fruitière : « … cependant, à Orléansville les arbres sont chargés, bien que les mouches des fruits y ait causé des dégâts ».Cheptel : cas de maladies contagieuses, sont déclarées à Orléansville : la rage et fièvre aphteuse.
Injures
Dans la matinée du mardi 02 juillet 1918, une vive altercation verbale éclate entre Eugène Biffe, cantonnier de la commune et Mr. Taurand, le chef cantonnier. Ce dernier est traité de tous les sobriquets, il est même menacé de mort. Vingt cinq jours après (soit le samedi 27 juillet), Mr. Biffe, est révoqué de fonctions pour avoir proféré des injures calomnieuses envers son supérieur hiérarchique dans l’exercice de ses fonctions, le menaçant même de morts, selon des témoins oculaires.
Interdiction
Le dimanche 24 avril 1927, la circulation est interdire de treize heures et demie à seize heures et demie, sur la route nationale d'Alger à Oran, dans la partie comprise entre les portes de l'Ouarsenis et la porte de Mostaganem pour l'organisation d'une fête publique.
Jeep
Le 13 novembre 1954, la municipalité d’Orléansville autorise Mr. Bisgambiglia, maire pour faire l’acquisition d’une Jeep avec remorque et d’un camion à benne (04 tonnes).
Juifs
Sous le régime de l’Etat de Vichy du maréchal Pétain et en application de la loi du 03 octobre 1940 portant statut des juifs, Messieurs Ghnassia Joseph, secrétaire général adjoint et Cohen Mardochée, tambour-afficheur, tous deux sujets juifs sont licenciés le 19 décembre 1940 par le maire d’Orléansville à compter du 16 décembre.
Jumelage
Dans le cadre du jumelage du département du Loiret (France) et l’arrondissement d’Orléansville, une grandiose réception est donnée par la commune d’Orléansville le 26 novembre 1961 en l’honneur de la délégation haute.
Jument
Le lundi 20 mai 1918, Mr. Djilali Saïah Djilali ben Henni, propriétaire d’une jument blanche de quatre ans, 1m 47 environ, gris très clair, ladre au chanfrein et aux naseaux, atteinte de morve (rapport de Mr. Cassagne vétérinaire sanitaire à Orléansville en date du 18 mai), sommé par les services d’hygiènes concernés de procéder à son abattage dans les brefs délais.
Juvaquatre
La Juvaquatre Renault, véhicule appartenant au parc roulant de ville d’Orléansville, sérieusement endommagée lors d’un accident de la circulation. Le 06 août 1958, les frais de réparations sont évalués après expertise à 54.600 francs.
Kaddouri
M Kaddouri Mohamed ben Abdelkader chauffeur titulaire à la commune d’El-Asnam, auteur d’un accident de la circulation survenue le lundi 25 décembre 1972, condamné par le tribunal de payer une amende de 728,50 DA (la commune décide lors de la session du 23 juillet 1975 de supporter le montant intégral de l’amende et l’inscrire au budget supplémentaire de 1975).
Klouche Ahmed
L’athlète Ahmed Klouche, n’a pas finit de savourer son sacre de champion de France dans la catégorie des juniors en cross, est abattu par une patrouille de l’armée française à la Ferme (banlieue d’Orléansville)eudi 16 mars 1960.
Lavoir Public
Le préfet d’Alger approuve 21 septembre 1860,deux délibérations du 15 août 1859, l’une concerne la location de deux pièces cotées n° 2 et 3 (lots de terrains) dépendant du corps de garde de la porte de Ténèz, affectées à la geôle municipale. La seconde concerne la location de l’emplacement sur lequel est construit le lavoir public de la porte de Mostaganem.
Lettre anonyme
Une amende de 140 francs est infligée le 30 juin 1938, à l’agent de police indigène Teguia Abdelkader, accusé dans un rapport du sous-préfet du 26 juin, d’avoir transmit une lettre anonyme contenant des renseignements confidentiels. Le ministère de la colonie a dépêché à Orléansville un inspecteur de sûreté de Médéa, chargé de vérifier les allégations contenues dans cette lettre.
Limitation de vitesse
Arrêté préfectoral du 13 septembre 1926, relatif à la limitation de la vitesse des automobiles. L’article premier de cet arrêté, stipule : « la vitesse maxima des automobiles est fixée comme suit, dans la traversée des agglomérations du département d'Alger: voitures de tourisme : 25 kilomètres à l’heure ; poids lourds (3 tonnes et au-delà) : 10 kilomètres à l’heure.
Livre
Octobre 1983, Rachid Aktouf, wali de la wilaya de Chlef, fait achevé son ouvrage intitulé «d’El-Asnam à Ech-Chéliff ou le séisme du 10 octobre 1980 ».
Machine à écrire
La municipalité d’Orléansville décide le jeudi 21 mai 1931, l’acquisition d’une machine à écrire de marque Remington n° 12 avec chariot «c » de 36 centimètres moyennant le prix de 3360 francs. Comme quoi Mlle Marcelle Taurand, unique agent dactylographe à la mairie, va pouvoir profiter de cette nouvelle génération de matériel bureautique.
Machine à vapeur
Le vendredi 31 mars 1871, expiration du marché passé entre la ville d’Orléansville et le sieur Bourgand, pour la fourniture de la houille servant à l’alimentation de la machine à vapeur de la pépinière.
Maison centrale
Fait rare - en janvier 1963, à la suite du recouvrement de l’indépendance et la libération de tous les détenus, la maison centrale d’Orléansville est totalement inoccupée. Tous les services de cet établissement ont été transférés à la maison d’arrêt située à la rue de Mostaganem (auj. disparue).
Menaces
Le Dr. Georges Grall, maire d’Orléansville fait interdire le mercredi 21 octobre 1942, une représentation théâtrale comprenant des acteurs juifs et devrait se tenir au cinéma Courjou, à la suite de sérieuses menaces lancées par le service S.O.L local pour empêcher par tous les moyens la représentation en question.
Mosaïque d’Orléansville
Décret du ministre de l’Instruction publique et des beaux-arts promulgué en décembre 1889, portant classement de la Mosaïque d’Orléansville et de ses dépendances parmi les monuments historiques.
Moutons
Le mercredi 11novembre 1959, organisation d’une fête à Orléansville par les anciens combattants, et le maire Henri Rigaud décide d’offrir cinq moutons comme festin à cette occasion.
Nettoiement
Depuis le mercredi 11 avril 1917, Mr.François Rufino adjudicateur du service du nettoiement de la commune, refuse le balayage de la ville et l’arrosage des rues. Des tas d’immondices se sont formés à travers les artères de la ville. Le maire décide le 22 avril d’infliger une amende de 25 francs à l’adjudicateur pour manquement de service.
Noyade
Le Progrès (hebdomadaire paraissant tous les jeudi à Orléansville ) du jeudi 21juillet 1910, rapporte que dimanche 17 juillet à 3 heures du soir, le jeune Aboura Lakdar, dont le père est journalier au service de M. Pénalva Camille, maraîcher, banlieue d’Orléansville, s’est noyé en se baignant dans le Chéliff.
Orléansville
Le jeudi 23 octobre 1930, le Conseil municipal d’Orléansville adresse un télégramme de bienvenue au nouveau Gouverneur Général de l’Algérie Mr.Carde qui vient de remplacer Mr. Pierre Bordès grand ami de la ville d’Orléansville.
Ouada
Le lundi 07 novembre 1932, tenue de la Ouada (Taâm) de Sidi El Hadj M'hamed à Moafkia, festin autorisé par le sous-préfet de l’arrondissement d'Orléansville.
Ouvrage d’art
La circulation est interdite le 23 février 1953 sur le chemin vicinal ordinaire n° 5 dans la traversée de la Bocca Sahnoun, pour permettre à la société Léon Chagnaud &t Fils d’entreprendre la réalisation d’un ouvrage d’art pour le franchissement du dit chemin par le canal principal rive gauche du Chéliff.
Pain
: Dès le mois de décembre 1900, le prix du pain est fixé à compter de ce jour à travers la municipalité d’Orléansville à soixante quinze centimes (0,75 f) le kilogramme.
Panthère
Une panthère furieuse (elle s’est échappée d’un cirque), attaque le mercredi 22 mars 1922 dans la région de Flatters (aujourd’hui Benaïria, chef-lieu de commune), une vieille femme qui gardait son troupeau dans les parages, sérieusement touchée, elle rendit l’âme peu de temps après. Les chasseurs de la région alertés aussitôt, abattirent la bête furieuse (aujourd’hui visible, à l’intérieur de l’enceinte de l’école Mohamed Belkheïra de Benaïria).
Paquebot CHELIFF
Paquebot en fer à hélice, une cheminée, trois mâts et avant à guibre, construit au chantier Denny à Dumbarton en 1855, acheté sur cale avec le MITIDJAH, il est mis en service le 24 septembre 1855 sur la ligne du Levant, puis est affecté au service postal desservant Oran, Alger et Tunis dans le cadre de la convention de 1854 signée avec l’Etat. En 1859 il est affecté aux lignes annexes du Levant avec le MITIDJAH. En 1862 sa mâture est modifiée par suppression des vergues au deuxième mât, puis assure le service hors convention postale de la Mer Noire au départ de Constantinople. Il est vendu le 25 janvier 1875 à l’armement turc SERKI BEY BALLICIN.
Fiche technique
nom du navire : .............Cheliff type : ......................paquebot type détaillé : ............. matériau de coque : .........fer type de propulseur : ........à hélice année de construction : .....1855 nom du chantier : ...........Chantiers Denny lieu du chantier : ..........Dumbarton similaires : ................Mitidjah noms précédents : ........... carrière à la compagnie : ...1855 / 1875 lancement : .................lancé en 1855 à Dumbarton equipage : .................. passagers : .................
CARACTERISTIQUES
longueur : ..................66,50 m hors tout largeur : ...................9,20 m jauge brute : ...............790 tx jauge nette : ...............473 tx port en lourd : ............. deplacement : ...............1270 type du moteur : ............machine à 2 cylindres puissance hp : .............. puissance hpnx : ............250cvnx vitesse : ...................9 n
référence: www.FrenchLines.com
Permis de conduire
Arrêté municipal du 28 décembre 1929, réglementant l’exercice de la profession de taxi à travers la commune d’Orléansville (le permis de conduire, a été institué en France en décembre 1922), qui stipule en son article premier : « quiconque voudra mettre en circulation une voiture automobile de place avec stationnement à Orléansville, devra en faire la demande au maire, sur une feuille timbrée à 3 f 60 ; être français, naturalisé ou sujet français ; y joindre un extrait du casier judiciaire et un certificat de bonne vie et mœurs de moins de trois mois de date ».
Peugeot 403
Pour les besoins du service, la ville d’Orléansville, fait l’acquisition en novembre 1959 d’un nouveau véhicule de tourisme (une Peugeot 403) auprès des établissements J.Vinson à Orléansville, moyennant un prix 902.300 francs.
Plainte
Le maire de la commune d’Orléansville transmet le vendredi 11 août 1933, au procureur de la République, une plainte du nommé Beldjouheur Slimane ben Kaddour demeurant à la bocca El-Habbaïr dont les gourbis ont été détruits par un incendie et qui soupçonne sa belle–sœur Boufradji Djouheur bent Tayeb d’y avoir mis le feu comme elle l’eut avait menacé à plusieurs reprises.
Poids public
Le mardi 01 av 1890, le service du poids public est installé sur la place de la Mosaïque, près du marché couvert.
Politique
Une véritable discussion s’engage le samedi 23 avril 1949, lors de la tenue du conseil municipal d’Orléansville entre le maire Auguste Rencurel et le conseiller musulman Bouziane Abdelkader. Il lance en direction du maire la remarque suivante : « vous faites de la politique en disant qu’on fait plus pour les Français que pour les musulmans. Ne mettez pas la population en opposition suivant les éléments ethniques. »
Prolongation
Les cafetiers et restaurateurs indigènes d’Orléansville, formulent une demande au commissaire civil- maire le samedi 25 avril 1857, à l’effet d’être autorisés de prolonger la fermeture de leurs établissements jusqu’à une heure du matin , durant la période du ramadhan du dimanche 26 avril au mardi 26 mai .
Purification
Le 21 janvier 1935, acquisition d’un appareil de verdunisation au service communal des eaux au prix de 5300 francs (appareil qui consiste à la purification de l’eau par addition de chlore à très faible dose).
Quintal
Le 01 février 1945, le prix du pain de farine bise est fixé à Orléansville à 8 f 33 (le quintal est fixé à 782 f 9. Le 15 septembre de la même année le quintal est porté à 811 f 25 et le prix du pain 9 f 17.
Rage
Quatre enfants dont deux indigènes, mordus par un chien reconnu enragé, envoyés le 25 avril 1892, aux frais de la commune d’Orléansville, à l’Institut Pasteur de Paris pour recevoir les soins nécessaires.
Rallye
Le samedi 02 avril 1960, la ville d’Orléansville offre une importante réception à l’hôtel Baudouin, en l’honneur de la délégation du Rallye de l’Ecurie pilote d’Alger.
Ramadhan
Le mardi 19 septembre 1876, début du mois de Rhamadan, le maire d’Orléansville, autorise les cafetiers indigènes de tenir ouverts leurs établissements jusqu’à minuit.
Ravitaillement
En considération de la première guerre mondiale qui fait rage, et du manque flagrant du ravitaillement, la municipalité d’Orléansville interdit le 10 mars 1941 aux boulangers de vendre plus de cinq kilogrammes de pain au même client, sauf autorisation spéciale.
Rayon X
En Juillet 1925, acquisition d’un appareil à rayons «X » pour l’hôpital militaire d’Orléansville (radiographie et radioscopie).
Réverbères
Orléansville, dimanche 23 août 1857. Le sieur Reski, allumeur employé de la régie de l’éclairage public (de l’époque), s’abstient et n’allume pas les réverbères destinés à la musique militaire. Une retenue disciplinaire de trois jours d’appointements lui est infligée dès le lendemain lundi 24 août par le commissaire civil- maire, Mr. Ferdinand Duboc. Révoqué le 11 février 1858 est remplacé par Mohamed ben Yamani dit Constantini.
Refuge
Un appartement situé 11, rue Bugeaud (auj. Aspirant Abdelkader Dahnane), composé de deux pièces et d’une cuisine, non occupé par son propriétaire Djilouli Abdelkader, est réquisitionné le 10 décembre 1942,par le maire d’Orléansville au profit de madame Fenollar Emille, une réfugiée d’Alger, mère de cinq enfants et qui se trouve dépourvue de toute demeure.
Sacrificateur
Considérant que l’abattage du bétail destiné aux boucheries, est opéré par des garçons qui n’observent pas les principes de la loi coranique, le maire Ange Bisgambiglia décide le vendredi 05 avril 1946 de confier cette tâche au sacrificateur Dahou Mohamed ben Mohamed.
Salubrité publique
Dans le souci de défendre les droits des consommateurs, le maire d’Orléansville décide le10 décembre 1952 que les poissons du jour étalés sur les tables de la poissonnerie ou disposés dans des casiers non vendus à 11heures seront saisis et les légumes frais destinés à la consommations doivent être exempts de terre.
Sécheresse
Novembre 1930 : Sécheresse d’hiver effrayante du Chéliff (la plus inquiétante dans l’histoire de l’oued), il écoulait à moins de 1 m3 500 à la seconde.
Ségrégation
Typhus : mesures prophylactiques : l’article premier de l’arrêté n° 553 du 28 janvier 1942, de la ville d’Orléansville stipule : « des postes de douaïrs installés aux portes de la ville, du lever au coucher du soleil, ne laisseront pénétrer que les individus porteurs de sauf-conduit (cette mesure ne vaut que pour les indigènes). L'article deux dispose : « les mendiants seront refoulés au dehors de la ville ».
Scandale
Le 30 mai 1938, Messieurs Mehaïguène Djelloul ben Mohamed et son père Mohamed ben Ali frappés d’interdiction d’accès à l’abattoir communal, pour avoir porté un coup de couteau à l’aide du gardien de l’abattoir, le blessant au flanc droit. Son père est ensuite allé faire du scandale dans le bureau du vétérinaire communal.
Sceau
Vu l’éloignement de l’école indigène de Chettia, du puits alimentant en eau potable la Bocca, le maire d’Orléansville décide le 09 mars 1946, de recruter à titre précaire et révocable, Madame Nasri Kheïra, pour le transport journalier par sceau à l’école avec un salaire mensuel de 600 francs.
Schell
Arrêté préfectoral n° 15933 du 11 août 1927, autorisant officiellement la société anonyme française des pétroles «Shell » à s’installer à Orléansville.
Société
Le 08 janvier 1927, un avis favorable est donné à la Société industrielle de l’Afrique du Nord des pétroles en vue d’installer un dépôt de 200.000 litres de liquides inflammables au lieu dit «Parc aux bœufs » à proximité de la gare et du dépôt de la Société italo-américaine (l’actuel dépôt de stockage de carburant appartenant à l’entreprise NAFTAL).
Surplus
Au cours d’une inspection de routine, effectuée par le receveur Municipal au marché arabe, il a constaté un excédent de 62f 40 cts dans la caisse du collecteur des droits de place et de marchés de la commune Benyamina Mohamed non expliqué. Il est relevé de ses fonctions le 12 mai 1939. Mr. Medjaheur Mohamed est nommé le 26 mai pour lui succéder.
Système de retraite
Le 01 novembre 1928, Mr. François Guerieux (79 ans), cantonnier communal à la municipalité d’Orléansville démissionne de son poste (occupant un local communal situé au jardin public et qui doit le libérer au plut tard le 31 décembre). Vu les énormes services qu’il avait rendus à la commune et considérant qu’il n’est pas affilié à la caisse de retraite pour la vieillesse en raison de son âge (74 ans en 1923 lors de l’introduction pour la première fois du système de retraites à Orléansville), la commune décide de lui allouer un secours mensuel de 150 francs (son salaire était de 250 francs par mois).
Taxi
Une mise à pied de huit jours est infligée le lundi 19 août 1940, par le maire, à M Bessiri Abdelkader, exploitant d’un taxi-auto à Orléansville immatriculé sous le n° 9621 AL 13, pour avoir réclamé à tort 10 francs pour le prix d’une place de la gare en ville à un voyageur arrivant par le train d’Oran le samedi 17 août à 2 heures du matin.
Téléphone
Compte tenu de l’éloignement des bureaux de la recette municipale de la mairie d’Orléansville, le maire décide dès 28 avril 1930 l’installation pour la première fois d’une ligne téléphonique dans ces locaux.
Théâtre
Le 27 janvier 1941, représentation à Orléansville de la pièce théâtrale «l’avare et le Cid », par le théâtre de France aux profits des écoliers.
Tickets d’entrée
L’accès à l’abattoir pour une durée d’un mois est interdit au sieur Rahou Ali, boucher à Orléansville pour falsification des tickets d’entrée à compter du 04 janvier 1946.
Train
Décembre 1900: Le conseil municipal d’Orléansville, émit le vœu que le train n°1, en partance d’Alger vers Orléansville à 6 heures 50 minutes du matin et arrivant à destination à 13 heures 23 minutes de l’après midi, l’augmentation de sa vitesse pour être à midi à Orléansville.
Traité
La commune d’Orléansville conclu le 05 février 1926 un traité de gré à gré avec la société «l"Aster » de Paris (IX) 66, rue de la chaussée d’Anton, pour la fourniture à la commune de 450 compteurs d’eau volumétrique.
Traitement
Le 14 décembre 1936,l’agent de police à Orléansville, Teguia Abdelkader se voit infligé une amende de 348 f 33 (somme égale au montant de 15 jours de traitement net), pour avoir obtempérer de s’assurer du nommé B. Mohamed condamné à un mois de prison.
Tramway
Vœu du conseil municipal d’Orléansville en date du 30 septembre 1894, pour la construction d’un tramway à vapeur reliant entre elles les villes de Ténès et Orléansville (à cette époque le percement du tunnel de l’oued Allala n’est pas encore effectuer).
Tranquillité publique
Considérant que les camions stationnant momentanément pendant la nuit à Orléansville, troublent le repos des habitants lors de leur mise en marche, Il est décidé le 11 septembre 1942 que tout camion voulant stationner en ville en dehors des garages, devra obligatoirement stationner extra-muros.
Troupe artistique
Dans le cadre de l’organisation de soirées culturelles, (organisées conjointement par les communes d’El Asnam et de Blida) une troupe artistique bulgare en tournée dans la ville d’El-Asnam. Elle donna plusieurs soirées juillet 1977.
Typhus
Orléansville est en deuil à la suite du décès le 28 janvier 1929, de Mr. François Aléxis Magrey, premier adjoint au maire depuis 1919. Il se distingua de fort bel manière en portant son secours à la population orléansvilloise lors de l’épidémie destructrice de typhus de1920 –1921 qui ravagea la région (il reçut la médaille de vermeil des épidémies).
Usine
La compagnie Lebon, autorisée par arrêté du préfet d’Alger de janvier 1930 à construire une usine à gaz à Orléansville.
Utilisateurs des cabines téléphoniques
Vu l’énorme bruit dégagé par l’appareil «Baudot » (un instrument de télégraphe inventé en 1874 par l’ingénieur français Emile Baudot 1845-1903) installé à l’intérieur de l’enceinte de la poste d’Orléansville et gênant énormément les utilisateurs des cabines téléphoniques, le maire Joseph Robert décide dès le samedi 08 octobre 1927 de le déplacer à un autre endroit moins encombrant.
Ver à soie
Le 30 avril 1924, passation d’un bail de location des mûriers de la ville (arbre ou arbuste des régions tempérées de l’Asie et de l’Amérique dont les feuilles nourrissent le ver à soie) entre la commune d’Orléansville et Mr. Louis Gibier pour installer une station expérimentale de l’élevage du ver à soie. Le 30 avril 1930, il demande la résiliation du bail à compter du 01 mai 1930 qui le lie à la commune, en invoquant que ce genre d’élevage ne réussit pas dans la plaine du Chéliff.
Viande
Arrêté municipal d’Orléansville du 13 avril 1945, fixant les prix de la viande de boucherie hippophagique comme suit : filet 106 f ; bifteck 86 f ; langue et foie 62 f ; rate 30 f.
Vin d’honneur
Un vin d’honneur offert le samedi 01 mars 1930, par la municipalité de la commune d’Orléansville, au gouverneur général de l’Algérie Pierre Bordès lors de sa visite officielle effectuée à Orléansville.
Voie hiérarchique
Une amende de 500 francs est infligée le 29 juin 1946, par le maire d’Orléansville à Mr. Belhadji Belhadj auxiliaire à la mairie, pour non-respect de la voie hiérarchique en écrivant une lettre directement au Gouverneur Général de l’Algérie à travers laquelle il relate un différent qui l’oppose à son administration.
Vol
Le Progrès du jeudi 24 novembre 1910 (hebdomadaire paraissant à Orléansville), rapporte dans ses colonnes qu’il a été volé hier, Mercredi à quatre heures de l’après midi à Mr. Paul Bontron, à Charon (auj. Boukadir), une bicyclette marque Peugeot. Les ressorts de la selle sont cassés ; le pneu de devant est rouge.
Wicherding Chanoine
Le dimanche 07 décembre 1952, organisation à Orléansville d’une procession aux flambeaux (manifestation religieuse juive) par M Chanoine Wicherding, rue du Dr Bouteloup : de l’église à la Place Victor Hugo et retour. La circulation des véhicules automobiles, hippomobiles, motocycles et bicyclettes interrompues pendant toute la durée de la tenue de cette manifestation.
Xavier Yacono
Xavier Yacono, un Orléansvillois, publie en 1955 son ouvrage intitulé «La colonisation des plaines du Chéliff » (De Lavigerie au confluents de la Mina) Tome I 444 p, édité à l’imprimerie Imbert d’Alger. En 1956, parution du Tomme II : « «La colonisation des plaines du Chéliff », en 422 p.
Yves Débia
René Yves Debia, sous- préfet d’Orléansville en fonction lors du tremblement de terre du 09 septembre 1954, fait paraître en 1955 aux Editions Baconnier d’Alger, un excellent ouvrage, consacré entièrement à la région, sous le titre : « Orléansville, Naissance et destruction d’une ville. Sa résurrection ».
Zeddine :
Avril 1948 : Réunion importante du comité central du PPA à Zeddine (El-Attaf), dans la ferme appartenant à un des responsable de l’OS (Belhadj Djilali, le futur Kobus, liquidé par le FLN le 22 avril 1958). Décision importante : trouver les moyens les plus adéquats pour passer à l’action armée.
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Télégramme
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